En devenant sapeur pompier, ce jeune éphèbe à peine âgé d'une petite vingtaine d'années espérait rencontrer tout un tas d'hommes virils et musclés, des héros biens masculins qui le feraient pomper dans la caserne entre deux incendies. Pas de bol : il est tombé dans une équipe de purs hétéros. Trop tendu de se retrouver toute la journée avec ces beaux mecs et de ne même pas pouvoir goûter à leur queue ! Alors quand il rentre chez lui, il ne se retient plus : il défait son uniforme et s'astique très fort. Cela fait des semaines que c'est comme ça : il se branle compulsivement, passe tout son temps libre à éjecter tout son jus pour se vider la tête. Et encore une fois ça va bien cracher !
Ce trentenaire débordant de charme et de virilité le sait : les pompiers font fantasmer beaucoup de mecs. Joueur et exhib, il a accepté de venir se taper une queue devant la caméra alors qu'il avait un jour de repos. Mais ces gars-là, ils n'arrêtent jamais le service : il enlève son costume, dévoilant son alléchant torse poilu, et commence à s'astiquer sa belle pine. Il pourrait y avoir le feu qu'on resterait là à le supplier de rester assis et de continuer à se pignoler. Parfois pendant les grandes chaleurs, on a plus besoin de jus que d'un extincteur... Après s'être branlé à fond, le beau mâle ralentit la cadence alors que l'orgasme approche, savourant l'éjaculation. "J'en ai foutu partout" lance-t-il en se marrant. Hummm.
En plus d'un quart d'heure, cette séquence va passer d'un plan duo à une touze de quatre beaux pompiers, pour se terminer encore en duo. Si le nombre change, les attributs restent identiques : ce sont de beaux mecs de l'Est jeunes, virils et TTBM qui baisent sans se poser de question et en extérieur !
Dans la chambre de la caserne, où ils doivent normalement se reposer, deux pompiers profitent de ce jour de fête pour baiser à l'écart de la cohue. Ils sont beaux, jeunes, biens montés. Ils savent sucer en fond de gorge, utiliser le 69 avec maestria, doigter un cul avant de le défoncer... Deux minets-gentlemans sachant baiser sans tabous !
Slobodan est dans l'armée depuis presque dix ans. Il a peu de permission mais une grosse libido. Les femmes, il en voit jamais, ou presque. Alors, quand de nouvelles recrues intègrent les rangs de son unité, il leur fait tester son gros bazooka. Les paroles sont inutiles : en fond de gorge puis à fond dans le cul, il tire !
L'avantage avec les militaires, c'est qu'ils sont souvent en mission ou en caserne. Dans les deux cas, ils n'ont pas de meuf pour se vider les couilles. Ils se débrouillent entre eux, et ce n'est pas pour nous déplaire : ils sont virils, ils ont faim, ils en veulent et leurs corps sont souvent de premier choix. Pour preuve, cette scène !