Histoires de sexe

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Le jardinier
Histoire gay publiée le 29/09/2017
A cette époque, mon métier me faisait pas voyager et je n'avais pas le temps de m'occuper du ménage ou du jardin. Pour ça, il y avait Miranda, ma femme de ménage qui a dans les cinquante ans, et Josh, un petit minet de 19 ans, mignon à croquer avec un petit cul plutôt joli et assez rond et fin de corps. Il est blond aux yeux bleus clairs, des bras fin mais qui laisse quand même deviner une certain entretien et de beau mollet. Combien de fois je me suis tripoter la queue en pensant à lui ! Il s'occupait de mon jardin et de la piscine et j'ai mainte fois voulu lui coller la main sur les parties intimes et le culbuter. Mais Josh avait visiblement une copine ... très mignonne en plus ! On était en octobre et j'avais demandé à Josh s'il pouvait passer un samedi nettoyer un peu mon jardin. Il ne venait que le weekend car encore étudiant. On a rapidement convenu une date et le jour J, il était là, toujours aussi assidu et prêt à la tâche. Il était bien couvert ... dommage ! Je lui ai donné quelques tâches à faire, et surtout le ramassage des feuilles mortes de mes trois arbres, parce que c'était franchement pas beau à voir. Je bossais tranquillement dans mon bureau et j'entendais le bruit des machines dans le jardins. On peut dire qu'il faisait bien son travail et qu'il débitait le boulot à une vitesse folle. En même temps, je le rémunérais plutôt grassement, non seulement parce qu'il est efficace, mais aussi parce qu'un samedi, peu de jardinier souhaitent se déplacer. Mais au bout d'une grosse heure, je suis déconcentré par un autre bruit : la pluie. Un coup d'oeil dehors, il tombe des cordes ! , le gamin est encore dehors et il n'a rien dit ! Je descend rapidement pour le faire rentrer. Je ne sais pas depuis combien de temps il pleut comme ça et il doit être trempé. J'ouvre la baie vitrée du jardin et tente de l'appeler. M : Josh ! Josh ! J : Oui monsieur ? M : Rentre il pleut ! J : Non monsieur ça va aller, j'ai bientôt fini. M : Viens là je te dis. Tu vas être malade ! Il se résigne finalement à s'arrêter et court me rejoindre. Il est plus que trempé et visiblement transit de froid. M : Eh bah ! Heureusement que je m'en suis rendu compte J : Oh c'est rien monsieur. C'est pas ça qui m'arrête. M : J'ai bien vu. Mais regarde-toi, t'as l'air glacé ! J : Ouais j'ai un peu froid ... M : Suis-moi. Ni une, ni deux, je l'emmène à l'étage, direction la salle de bain. Là-bas il y a un sèche-linge, histoire qu'il ne rentre pas dans cet état. Je rentre dans la pièce avec lui. Evidemment, je ne veux pas en louper un miette. Je vais enfin découvrir son petit corps. Il est à 1m de moi et il tremble comme une feuille. M : Donne-moi tes vêtements, je vais les mettre à sécher. Je sais pas trop comment marche ce truc mais je vais trouver. Tu repars pas dans cet état. J : C'est vraiment sympa de votre part. M : C'est normal. Attends je vais t'aider. Il a déjà enlevé ses chaussures et son manteau. Ca, ça n'ira pas dans le sèche-linge. Je jette tout dans la baignoire et lui retire son pull. Je dois me contenir pour ne pas bander devant lui. Lui, il déboutonne la braguette de son jean, bouton par bouton. Il est aussi méticuleux dans le jardin que dans la vie. Moi, je défais un à un les boutons de sa chemise, elle aussi mouillée, malgré le pull. Il est nu en dessous. Je découvre pas à pas le haut de son torse, puis ses pecs, légèrement dessinés et imberbes de jeune homme. Il se laisse faire. D'un doigt, d'effleure sa peau le pls discrètement possible. Je frémis. Un autre bouton, et je devine un petit quelque chose d'intéressant. Un autre. Ca y est, je les vois : ses abdos. Il sont bien plaqué et peu développés mais il sont bien là. Là encore, je m'aventure à les toucher. J'arrive au bout. Il a un très beau 6-pack. Les secondes s'étirent et je lui enlève sa chemise, bien collée son corps. Tous mes soupçons sont levés. Il est magnifique et assez musclé. Je balance la chemise au fond du sèche-linge. Je me retourne et je le vois déjà sans pantalon. Il a de magnifique cuisses, les mêmes que j'avais imaginées plusieurs fois. J'ai envie de le prendre dans l'instant. Mais je ne peux pas. Par contre, je remarque que son caleçon aussi est bien humide. M : Tu veux mettre ton caleçon aussi. Il a pas l'air très sec ... J : Euuuh ... je veux bien mais ... je suis un peu gêné ... M : Oh oui pardon ! Je fais mine de ne pas avoir tilter tout de suite mais c'est ça que je veux voir. Je prends une serviette et la mets devant son objet. Pour lui, il est caché, pour moi, je peux jeter un oeil ! Il descend maintenant son caleçon devant moi et l'enlève. Je ne vois pas bien sa queue mais elle a l'air jolie et pas petite. J'aimerais bien la voire toute fière et dressée. Mais il se saisit rapidement de la serviette et s'essuie. Je me mets dos à lui pendant qu'il s'essuie et tente de mettre en route le dit sèche-linge que je n'utilise jamais. Je finis par y arriver. Il a la serviette autour de la taille. Il est trop sexy ! M : Voilà c'est lancé ! J : Cool. Y en a pour longtemps ? M : Aucune idée. Par contre, tu vas pas rester à poil ... faut que je te trouve quelque chose. J : Oui je veux bien parce que j'ai toujours froid ... Je l'emmène dans ma chambre. Evidemment, j'ai volontairement omis de lui dire qu'avec mon boulot, je suis toujours en déplacement. Je n'ai donc que très peu de fringue et rien à lui prêter, car je prends généralement tout avec moi. Et n'étant rentré que pour 48H, j'ai presque tous mes vêtements sur moi ! M : Hmmm ... tiens je te prête un caleçon. Pour le haut ... j'ai que celui que j'ai sur moi. J : Oh vous êtes pas obligé ... M : Non t'inquiète c'est qu'un débardeur. Je déboutonne ma chemise devant lui. Je la fait voler sur le lit. Et je retire mon débardeur. Je suis torse nu devant lui. Je gonfle bien mes pecs pour l'impressionner ... et ça marche. Une belle demi-molle ! J : Wow ... vous ... vous êtes très musclé M : T'as vu ça ?! T'es pas mal non plus. J : Oh merci c'est gentil. Je ... je peux toucher ? J'étais sur le cul. J'avais l'impression d'être dans un rêve. Mais non, il me demandait bien à me toucher. M : Ouais vas-y. Fais toi plaisir. Il n'a pas attendu deux secondes avant de poser sa main droite sur mon ventre. J'ai bien contracté mes abdos pour qu'il sente leur puissance. Il glissait entre chaque interstice pour tout sentir. Il me dévorait du regard et je voyais sa queue grandir dans mon caleçon trop grand pour lui. J'ai pris son autre main pour la mettre dans son caleçon. M : Vas-y, branle-toi. J'ai tiré un peu sur le caleçon pour voir l'animal. Et je n'ai pas été déçu. Un bon 18*5. Il n'a pas la plus grosse mais elle est jolie et bien veiné. M : Mmmh ... t'en as une belle. Tu veux voir la mienne ? J : Euuuh ... M : Déshabille moi. Un peu hésitant, il défait mon pantalon et baisse tout d'un coup, libérant mon 20*5. J : La votre est plus belle. M : Joue avec si tu veux. J : Non je ... M : Allez vas-y je sais que tu en as envie ! Il n'est pas franchement à l'aise, mais il se laisse aller rapidement et me branle doucement. Moi je lui caresse la joue et les cheveux. Je ne veux pas précipiter les choses et je veux kiffer. Mais soudain, il entend la sonnerie du sèche-linge et il se retrouve comme réveillé d'un rêve. J : Oh ... je ... j'ai une copine. Je dois pas faire ça. Et ... il faut que j'y aille. M : Non Josh attend ! J : Je suis vraiment désolé ... j'aurais pas dû ! Il se précipite vers la salle de bain. Le temps que je me rhabille un peu, il était déjà en train de refermer son pantalon. Il n'était pas à l'aise et je m'en voulais soudainement de l'avoir mis dans l'embarras. M : Josh, stp écoute-moi. Je croyais que tu voulais la même chose que moi. Tu me plais et je te plais. J'ai bien vu que t'as aimé. Ne sois pas gêné de ça. J : Oui mais ... ma copine ... je la trompe là. Et je travaille pour vous. C'est pas bien ce que je fais. M : Ecoute ... sache que si tu veux essayer quoi que ce soit avec un homme, en dehors du travail et de ta copine, je suis là. Tiens je te donne tes sous et je te laisse partir. Il a fini de s'habiller et s'est sauvé comme un voleur. Malheureusement, il a arrêté de travailler pour moi pendant un an. Puis il m'a rappelé ... pour autre type de travail ...