Ils se sont engagés dans les ordres car ils n'assumaient pas leurs pulsions homosexuelles et rêvaient de vivre reclus entre hommes. Mais quand on a 20 ans, on n'y peut rien : quand on ne le touche pas, le sexe se met quand même à bander et réclame qu'on lui fasse écouler la semence. Les apprentis prêtres ne tiennent plus et cèdent à la tentation. A l'abris des regards, ils s'offrent un moment d'amour et de partage. Ici, on communie en accueillant dans sa bouche les tiges longues et dures de ses camarades, en se caressant et se sodomisant avec intensité. Délicieux sodomites en extase, ils jouissent à l'unisson et sont désormais prêts à brûler en enfer, consumés par la luxure. Dieu attendra, amen au foutre !
Lucas a postulé pour entrer dans un monastère. Il avait besoin de calme, de sérénité, d'esprit. Il voulait lutter contre ses pulsions sexuelles débordantes. Tout s'est bien passé au départ et il a trouvé un moine qui est vite devenu son mentor. C'est un modèle pour lui, un homme zen, sûr de lui, intelligent. Mais ses démons vont refaire surface. Le moine est secrètement gay et va faire de lui son protégé, son passif qu'il entend bien remplir chaque jour de sa semence. Contrôlé, fasciné, Lucas suce celui qu'il vénère et devient accro à son manche puissant et imposant. Il se fait enculer et il a l'impression de trouver un sens à sa vie. Il veut cette queue non stop, il veut vider les couilles du moine, lui appartenir. C'est bien parti pour...
La spiritualité c'est bien, la bite c'est encore mieux. Deux moines s'isolent pour se laisser aller et jouir ensemble. Leur soutane cache de belles érections traduisant l'urgent besoin d'être en contact avec des trous de mâles. Il faut faire attention, se retenir pour ne pas gicler trop vite : tant de sperme s'est accumulé dans ces bourses chastes ! Des petits coups de langue, un gobage profond, la tentation de la sodomie : les gars profitent de chaque seconde, jouissant à n'en plus finir et sentant la délivrance du sperme arriver.